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Les ONG et les bonnes volontés font beaucoup d’efforts pour l’éducation des enfants dans les camps des déplacés internes. Cependant, la mendicité, favorisée par la faim et la pauvreté des parents, compromet ces efforts…

Nous sommes vendredi, dernier jour ouvrable de la semaine. Il est 9 h. Les cours n’ont pas encore commencé dans l’une des écoles de fortune du site des déplacés internes de Faladiè. L’encadreur, Francis Tiénou, est assis dans une classe aux trois-quarts vide. A l’aide d’un seau d’eau et d’un chiffon, un jeune garçon essuie les tables-bancs. D’autres s’amusent sur une balançoire de fortune.

L’école, constituée d’une cour, d’un hangar en toit de taule entouré de paille, est situé en plein cœur du site. Elle a été construite par des personnes de bonne volonté maliennes et étrangères. Le hangar est divisé en deux cohortes : les niveaux avancés et les débutants.

Source : Mali Tribune

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